TommasoCampanella (1568-1639), moine dominicain originaire de Calabre, (Thomae Campanellae Calabri) écrit son utopie Civitas Solis idea Republicae Philosophicae ("La Cité du Soleil, ou idée d’une république philosophique") en 1602, qui sera publiée en 1623 dans "Realis philosophiae epilogisticae partes quatuorA Thobia Adami nunc primum editae", Francofurti
City Palace © Olivia Le Sidaner Située à 240 km de Delhi, Jaipur, la capitale du Rajasthan 3,4 millions hab., surnommée la ville rose », transporte le voyageur dans l’Inde mythique des maharajas, du commerce des épices et des pierres précieuses. Dans la cité ancienne, installée au cœur de ses remparts impeccablement conservés, on va à la découverte de ses superbes monuments historiques, du palais des Vents au City Palace, en passant par l’étonnant observatoire astronomique. Mais Jaipur est aussi une cité moderne et trépidante, que l’on découvre en usant ses sandales dans les bazars installés le long des grandes avenues... Un ballet incessant des voitures, des rickshaws et des deux-roues klaxonnant à qui mieux mieux dans un joyeux tintamarre ! Sommaire Intro Le palais des Vents, symbole de la ville rose Le City Palace, palais des maharajas Les merveilles du City Palace Jantar Mantar un observatoire astronomique à part Aux portes de la vieille ville La renaissance du Jal Mahal Fiche pratique Le palais des Vents, symbole de la ville rose © Olivia Le Sidaner Dans la vieille ville, le palais des Vents Hawal Mahal, construit en 1799, est certainement le monument le plus célèbre de Jaipur. Plus qu’un palais, il s’agit en réalité d’une fine façade de grès de cinq étages, haute de 15 mètres, percée de niches et de loggias finement sculptées. Relié aux appartements du zenana harem du City Palace, l’édifice permettait aux femmes – recluses, comme le voulait la tradition – d’observer la rue sans être vues, tout en profitant d’une brise rafraîchissante, salutaire dans cette région où les températures sont torrides une bonne partie de l’année, grâce à un astucieux système d’aération qui lui a valu son nom de palais des Vents. Au petit matin ou à la tombée du jour, le Palais des Vents se révèle dans toute sa splendeur, lorsque la lumière, plus douce, met en valeur la chaude couleur du grès rouge et rose. Un moment d’éternité. Le City Palace, palais des maharajas City Palace © Olivia Le Sidaner C’est au début du 18e siècle que le maharaja Sawai Jai Singh II décida de fonder Jaipur pour y transférer sa capitale, auparavant installée au fort d’Amber, à une dizaine de kilomètres de là. Ceinte de remparts, la nouvelle ville a bénéficié d’un véritable plan d’urbanisme, dont témoignent ses rues quadrillées. Construit entre 1729 et 1732, le City Palace devint ainsi le centre du pouvoir. Aujourd’hui, la moitié de cet ensemble de palais et de pavillons a été ouvert au public et aménagé en espaces muséographiques, le reste étant toujours occupé par la famille du jeune maharaja, couronné en 2011 à l’âge de 12 ans bien que son rôle soit purement honorifique. Si jamais le drapeau flotte au-dessus de l’imposant Chandra Mahal le palais de la Lune, qui s’élève sur sept étages, sachez que le maharaja est là ! Les merveilles du City Palace Pitam Niwas Chowk © Olivia Le Sidaner Ne manquez pas de visiter le musée des costumes, installé dans l’élégant Mubarak Mahal le palais de bienvenue, un pavillon de marbre blanc que le maharaja Sawai Madho Singh II avait fait construire à la fin du 19e siècle pour ses réceptions. Parmi les luxueux atours brodés d’or, d’argent, et sertis de pierres précieuses, est exposé l’impressionnant costume de Sawai Madho Singh I, un géant qui mesurait près de 2 mètres et pesait… 250 kg ! Dans la même cour, se trouve l’entrée du Maharani Palace, où est présentée l’une des plus belles collections d’armes du Rajasthan. Au centre d’une autre cour, se tient le hall des audiences publiques Diwan-i-Khas, où l’on découvre deux énormes jarres figurant dans le Guinness des records au titre de plus grandes pièces d’argenterie au monde. Pesant chacune 345 kg et pouvant contenir 4 091 litres, elles furent utilisées en 1902 pour transporter de l’eau du Gange lors du voyage que le maharaja fit en Angleterre à l’occasion du couronnement d’Edouard VII. Autres merveilles à ne pas manquer les magnifiques portes de la jolie cour Pitam Niwas Chowk, ornées de fresques représentant les quatre saisons. Jantar Mantar un observatoire astronomique à part Jantar Mantar © Olivia Le Sidaner Juste à côté du City Palace, se trouve l’un des lieux les plus étonnants du Rajasthan le Jantar Mantar, un observatoire astronomique en plein air regroupant près de 20 instruments monumentaux sur une grande esplanade. C’est au maharaja Sawai Jai Singh II, passionné de sciences, que l’on doit l’édification au début du 18e siècle de cet extraordinaire ensemble, inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco en 2010. À l’époque, l’observatoire était utilisé pour prédire les éclipses et la mousson, faire des horoscopes ou encore rédiger des almanachs. Parmi les instruments les plus remarquables, le Brihat Samrat Yantra est connu pour être le plus grand cadran solaire du monde, ses 27 mètres de haut lui conférant une précision exceptionnelle. Le Yantra Raj, lui, est composé de deux instruments métalliques suspendus à un portique un cercle astronomique et un astrolabe, qui est également le plus grand du monde. Aux portes de la vieille ville Albert Hall Museum © diy13 - Fotolia En redescendant par la Chaura Rasta Road, l’une des artères principales, on sort de la vieille ville par la New Gate, l’une des sept portes aménagées dans les remparts. De l’autre côté de la rue, voici l’agréable jardin de Ram Niwas, où s’élève l’Albert Hall Museum, une bâtisse aussi imposante qu’élégante datant de l’époque coloniale et abritant une large collection rassemblant armes arcs, sabres, poignards…, armures, poteries indiennes, bijoux, instruments de musique, sculptures de pierre, œuvres en bois, textiles, ou encore tapis précieux. Non loin de là, à une vingtaine de minutes à pied, pourquoi pas aller voir un film de Bollywood, le soir venu, au Raj Mandir, un immense cinéma de style Art déco pouvant accueillir 1 200 spectateurs ? Vous pouvez même réserver votre séance par le biais d’une appli sur Android uniquement. Ambiance garantie dans la salle ! La renaissance du Jal Mahal Jal Mahal © Olivia Le Sidaner C’est sans doute l’un des monuments les plus photographiés de la région de Jaipur. A 5 km du City Palace, sur la route d’Amber – l’ancienne capitale –, le Jal Mahal littéralement palais sur l’eau » semble flotter sur les eaux du lac artificiel de Man Sagar. Construit en 1799 pour le maharaja Sawai Pratap Singh, cet ancien palais d’été servait notamment de cadre à des parties de chasse aux canards. Abandonné pendant 200 ans, il est lentement tombé en ruine, avant d’être restauré, à partir de 2005. À cette occasion, le lac a également été assaini, des tonnes de vase contenant des déchets toxiques ayant été évacués. Grâce à ce toilettage environnemental » et même si on déplore encore malheureusement la présence de nombreux détritus aux abords du lac, et probablement aussi dans ses eaux, les oiseaux migrateurs qui avaient déserté les marécages environnants sont de retour. Actuellement, le palais ne se visite pas, et c’est de la rive qu’on se contente de l’admirer. Àquand l’installation d’un restaurant de luxe ou d’un palace, comme à Udaipur ? Fiche pratique Retrouvez toutes les infos pratiques, les bons plans et les adresses dans le Routard Inde du Nord en librairie. Pour préparer votre séjour, consultez nos guides en ligne Inde et Rajasthan Site du tourisme au Rajasthan en anglais Site du tourisme indien en anglais Comment y aller ? Vols quotidiens vers Delhi depuis Paris CDG, puis correspondance à Delhi avec Air India ou Jet Airways. Trouvez votre billet d’avion Jaipur est reliée à Delhi et aux principales villes du Rajasthan par train 5 h de trajet et par bus 5h30 de trajet. Comment se déplacer ? À Jaipur, vous pouvez vous déplacer en taxi ou en rickshaw. La circulation y est particulièrement dense, et les travaux de construction du métro n’arrangent rien. Si vous logez dans la vieille ville, il n’est pas compliqué de faire les trajets à pied, d’autant plus que les rues à angle droit permettent de se repérer sans trop de mal. Le seul problème est de traverser les grandes avenues il faut alors rivaliser d’astuce et d’audace pour parvenir entier sur le trottoir opposé, en zigzagant entre les véhicules qui vous frôlent et se déplacent avec une logique qui nous échappe, dans une véritable cacophonie de klaxons. Pour une escapade à l’extérieur de Jaipur, l’idéal est de louer une voiture avec chauffeur, l’option sans chauffeur » relevant de l’inconscience, étant donné le style local de conduite, des plus sportives »... Où dormir ? Shahpura House D-257, Devi marg, Bani Park. Dans cet hôtel de charme de style rajput, on pourrait se prendre pour un prince dans son haveli. Situé à environ 4 km du centre-ville, il offre une véritable oasis de calme, loin de l’agitation de la ville rose. Après une journée de visite, on s’y délasse en faisant quelques brasses dans la piscine, avant de dîner sur place, dans l’agréable jardin ou au restaurant situé sur le toit-terrasse. Hors promotions, comptez 6 000 roupies env . 81 € pour une nuit en chambre double + taxes, petit déjeuner en sus. Pearl Palace Heritage 54, Gopal Bari, lane Number 2, Ajmer Road. Superbement décoré et confortable, cet hôtel du quartier Ashok Nagar offre un excellent rapport qualité-Prix. Doubles à partir de 2800 roupies environ 35 € Réservez votre hôtel à Jaipur Où manger ? Niro’s Rd. L’une des institutions de Jaipur depuis 1949. Cuisine indienne traditionnelle, mais aussi chinoise et occidentale. Compter 1000 roupies 11 €. Four Seasons Subhash Marg, C-Scheme. L’un des meilleurs restos végétariens de Jaipur. Cuisine raffinée et copieuse. Compter 800 roupies 9 € Faire du shopping Dans la vieille ville, les nombreuses boutiques s’alignent le long des grandes artères, comme celles de Johari Bazar, Bapu Bazar, ou encore Tripolia Bazar. On y trouve des bijoux en argent, de l’artisanat du Rajasthan, des textiles en tous genres, des pierres semi-précieuses plus ou moins authentiques et de qualité, des vêtements… Bref, de quoi faire provision de souvenirs locaux. Le marchandage est, bien sûr, de rigueur. Tarifs des visites Les entrées dans les différents musées et monuments coûtent entre 200 et 500 roupies 2,70 € à 7 €. Il existe un ticket groupé, le Composite Entry Ticket, pour visiter une sélection de monuments de la région de Jaipur Jantar Mantar, palais des Vents, Albert Hall Museum, Amber Fort, Nahargarth Fort, jardins de Vidyadhar Ka Bagh et Sisodia Rani Ka Bagh. Pass valable 2 jours. Plein tarif 1 000 roupies env. 13 €. Tarif étudiants 200 roupies 2,70 €. Texte Olivia Le Sidaner Mise en ligne le 24 juillet 2017
Histoirede la pierre. Charmante cité de 30.000 habitants, Soissons regorge de trésors ! Même si l’épisode du vase a longtemps participé à sa renommée, Soissons n’est pas seulement réputée dans les manuels scolaires. Notre ville « blanche » construite en pierre calcaire est un véritable berceau historique.
Accueil •Ajouter une définition •Dictionnaire •CODYCROSS •Contact •Anagramme Ville surnommée la cité de Jean Bart » — Solutions pour Mots fléchés et mots croisés Recherche - Solution Recherche - Définition © 2018-2019 Politique des cookies. PontAven est surnommée « la cité des peintres » car de nombreux peintres, dont Gauguin, y ont séjourné. Géographie Le port de Pont-Aven. La commune de Pont-Aven est une commune proche du littoral atlantique, bordée à l'est par le fleuve Aven. La petite ville de Pont-Aven est située au bord de cette rivière, à l'endroit où elle s'élargit en un estuaire qui forme une ria (un aberMame-Fatou Niang – – L’article de Mame-Fatou Nian au format PDF En 1967, l’architecte Émile Aillaud dévoile les plans de la Grande Borne, un grand ensemble de près de 4000 logements à Grigny, commune semi-rurale à 25 kilomètres de Paris1. Résolument utopiste, Aillaud imagine une architecture insolite qui rompt avec la verticalité et la grisaille des banlieues d’alors. Surnommée la Cité des Enfants », la Grande Borne est un assortiment élaboré de bâtiments bas et colorés qui serpentent entre des cours et coursives aux formes fantasques. Aillaud crée une suite d’îlots et d’impasses aux noms évocateurs Dédale, Minotaure, Astrolabe etc. Les nombreux passages et replis de l’espace sont conçus comme des lieux qui encouragent le jeu, la déambulation et l’exploration de la mélancolie. Pour l’architecte, les circonvolutions de la cité créent des niches propices à l’introspection et au développement de relations de voisinages à l’échelle d’affinités humaines »2. Cinquante ans plus tard, le rêve d’Émile Aillaud semble s’être effrité, et la cité de la Grande Borne s’est embourbée dans la mythologie urbaine française3. Elle y rejoint des territoires tels que le Mas du Taureau à Vaulx-en-Velin, ou la Cité des 4000 à La Courneuve, territoires dont la seule évocation mobilise un réseau d’images allant de la violence endémique à l’invasion religieuse. La cité est rivée au centre d’une géographie de la peur nourrie par les représentations médiatiques et l’échec à répétition des politiques de la ville. Ces représentations atteignent leur apogée en janvier 2015, lorsqu’une France sous le choc découvre le visage de l’un de ces enfants d’Aillaud », Amedy Coulibaly, né à la Grande Borne et auteur des tueries des 8 et 9 janvier à Montrouge et Paris. Cet article se propose de sonder l’identité et les réalités de la Grande Borne aujourd’hui, en analysant l’action des mouvements Élan Citoyen » et Reporter Citoyen », deux collectifs qui se sont manifestés au lendemain des attaques de janvier 2015. Loin des rêves d’Aillaud, du prisme médiatique et des représentations extérieures, il s’agira d’analyser, au travers des actions de ces groupes d’habitants, l’empreinte que des Grignois veulent apposer sur la définition de leur environnement. Dans l’imaginaire collectif, la Grande Borne aura été tour à tour la Cité pas comme les autres, » la Cité des Enfants », un haut-lieu de règlements de compte entre gangs, le temple du trafic de stupéfiants en Île–de–France, et aujourd’hui, le berceau du tueur de l’Hyper Casher ». Comment les habitants peuvent-ils redéfinir l’image d’un espace tenaillé entre cette multitude de définitions et de représentations ? Quels sont les échos de telles initiatives citoyennes dans les perceptions de la Grande Borne ? En quoi ces initiatives permettent-elles à des Grignois de se réapproprier le discours sur leur espace, et de devenir enfin producteurs de sens, artisans de leurs identités ? — Un paradis pour enfants En 1968, Émile Aillaud publie une tribune dans les Cahiers de l’Institut d’Aménagement et d’Urbanisme de la Région Parisienne. Dans la communication intitulée Qu’est-ce qu’une ville ? », l’architecte écrit Devant le résultat catastrophique des grands ensembles, on concède parfois que l’urbanisme a évolué, que cela se passait il y a dix ans. Non, ces formes urbaines ne sont pas maintenant dépassées, elles ont toujours été une erreur. Avec une efficacité diabolique et une certaine simplicité d’esprit, les architectes ont fait dérailler le monde ; et les enquêteurs, sociologues ou autres, constatent le mal mais comme il n’est pas de leur domaine d’inventer une autre forme pour des cités, ils attribuent la maladie moderne de l’isolement » et la dépersonnalisation » à des causes variées, sans se dire que la forme » offerte actuellement à la vie urbaine n’était pas fatale, qu’une toute autre conception de la ville était possible, qui peut-être aurait été moins pernicieuse. Aillaud, 1968 En France, la construction dans les années 1950 de grands ensembles d’habitation à l’orée des métropoles laisse une empreinte dans le béton d’une foi inébranlable en un mieux pour l’Homme. Ces logements collectifs à loyer modéré et disposant de tous les agréments de la vie moderne sont considérés à leur début comme une étape transitoire avant l’accession à la propriété individuelle. Pourtant, l’on constate très vite les limites de politiques de l’habitat qui ont négligé le caractère essentiel de la ville [consistant] à rendre possible la vie en commun » Aillaud, 1968. Lorsqu’il dessine les plans de la Grande Borne, Aillaud imagine une cité qui rompt avec les lignes droites des grands ensembles traditionnels. Les pouvoirs publics lui confient 90 hectares de terrains agricoles enserrés entre la RN445, la RD310 et l’ A6 dans l’Essonne. En 4 ans, l’architecte y érige près de 3 500 logements qui accueilleront plus de 13 000 habitants de 27 nationalités différentes4. La cité est un labyrinthe de sept quartiers aux immeubles colorés et bas qui serpentent entre ruelles et espaces verts. Aillaud se dit habité par l’obsession de faire sortir de terre un espace de vie où se mêlent fonctionnalité et art, mais surtout un espace de rêve et de développement personnel pour ses jeunes habitants. ——– 1. Un dimanche après midi à la Grande Borne Jean-François Noël 1973 — Les débuts d’une utopie Dans l’émission La France défigurée », Émile Aillaud présente quelques unes des idées qui ont sous-tendu la création de la Grande Borne, une cité où les enfants sont rois »5. L’architecte confie vouloir rompre avec la monotonie des quartiers ternes, et créer un projet coloré qui mêle poésie, architecture et humanisme. L’habitat ne doit pas être conditionné par les seuls impératifs de fonctionnalités et de coûts, mais bien par le désir d’offrir un cadre de vie qui soit agréable, insolite et qui invite à repenser la modélisation des grands ensembles. Aillaud insiste sur sa décision de ne pas faire de l’architecture, mais plutôt une non-architecture qui soit au service du vivant. Dans cette optique, il défend l’idée d’un bonheur et d’un ravissement original à portée de truelle. Pour Aillaud L’horreur de l’urbanisme actuel, c’est de rendre tous semblables les gens dans ces bâtiments unanimes et qui supposent une vie unanime, inexistante. [Ce système] crée de fausses collectivités, [là] il faudrait qu’on crée des singularités, des possibilités d’isolation, des possibilités d’individualisation. La seule dignité que l’on puisse offrir à des gens démunis par ailleurs, c’est aussi d’être des individus » Aillaud, 1968. L’architecte déplore l’uniformisation des modèles, l’effacement des aspérités qui plongent l’individu dans un monde aseptisé et sans attaches. Le projet architectural d’Aillaud se distingue par la singularité qu’il veut offrir aux corps dans ces nouveaux espaces. Les habitants ne sont pas appréhendés comme un groupe uniforme assigné à un lieu, mais bien comme une somme d’individus autour desquels la cité est pensée dès sa conception. Aillaud opte pour une architecture minérale, avec des compositions aux couleurs vives et aux structures labyrinthiques qui rappellent un madrépore. ——- 2. à gauche un madrépore ; à droite vue aérienne de la Grande Borne Banque des Savoirs Essonne, 1990 Émile Aillaud imagine une suite de bâtiments et de jardins repliés sur eux-mêmes, qui favorisent le développement de relations de voisinage à l’échelle d’affinités humaines » Aillaud, 1972. Il place l’enfance au cœur de sa création en imaginant des espaces où foisonnent terrains de jeux, refuges et œuvres d’arts. Aillaud explique cette fixation sur l’enfant, en répétant à la suite de Freud que l’enfant est le père de l’homme ». En agissant sur l’enfant, il espère que ce dernier puisse être autre qu’il aurait été s’il avait été ailleurs, qu’il puisse devenir un individu ». La cité regorge d’endroits pour les jeux de groupe, mais Aillaud imagine aussi une foule de refuges et d’abris propices à l’isolation, à la méditation et à la recherche de soi. En octobre 2003, Jean-François Noël, photographe et ancien habitant de la Grande Borne, dévoile une série de photos prises 30 ans plus tôt dans la cité. Ces clichés montrent un espace libéré de l’emprise de l’automobile et envahi par des enfants jouant sous les pigeons de la place de Treille, autour du Gulliver ensablé de la Place de l’Œuf, ou sur le Serpent des Radars. ——– 3. Un dimanche après midi à la Grande Borne Jean-François Noël, 1973 — Où la réalité rattrape l’utopie En visite à la Grande Borne en 1972, Émile Aillaud confie sa joie de voir la réalisation sur le terrain de son rêve poétique. La ville est un coquillage lové sur lui-même, un immense terrain de jeu où il est ravi de voir les enfants utiliser le matériel urbain exactement comme il l’avait prévu. L’architecte se satisfait d’avoir créé un lieu de vie et d’épanouissement où toutes les composantes sont pensées en amont pour une utilisation spécifique. Trente ans plus tard, force est de constater l’échec du projet d’Aillaud. Dès le début des années 1980, soit 10 ans après l’arrivée des premiers locataires, la Grande Borne s’impose comme l’un des symboles des banlieues à problèmes, une aire de confinement et un contre-monde de la mobilité » Lapeyronnie, 1999 57. Espace clos enfermé sur lui-même, terrain vague pour vague à l’âme . Maspero, 1990 24 la cité est à mille lieues de la boîte à rêver d’Émile Aillaud. Cet espace, jadis modèle, est devenu un lieu légendaire […] sans cesse montré et parlé sur le modèle de la contre-exemplarité » Milliot, 2003 123. Son évocation éveille une multitude d’images et de stéréotypes, et les échos d’incivilités relayés par les médias ont contribué à cristalliser dans les imaginaires l’idée d’une zone de non-droit, d’un lieu du ban. Dans le cas précis de la Grande borne, une combinaison de facteurs exogènes et d’éléments spécifiques à l’histoire, au terrain et à la genèse de ce projet, ont contribué à cet échec rapide. Il conviendra de relever ici, entre autres, l’absence de concertations entre les différents acteurs du projet, le cloisonnement spatial et le manque d’équipement publics tels que les écoles, les crèches et les bibliothèques, les problèmes structuraux nés des malfaçons du bâti, les effets de la crise économique des années 1970 et enfin, la concentration exponentielle de populations précaires et d’origines étrangères. Bien avant le premier coup de crayon d’Émile Aillaud, le projet de la Grande Borne semble compromis par l’absence manifeste de concertations entre deux de ses principaux acteurs, les pouvoirs publics et la municipalité de Grigny. Après la fin de la Seconde Guerre mondiale, l’État cherche à régler la crise foncière qui est une conséquence du conflit et de l’expansion rapide de Paris. En 1965, il jette son dévolu sur une immense plaine agricole à cheval entre les communes de Grigny et Viry-Châtillon. Le permis de construire du grand ensemble de la Grande Borne est délivré le 10 octobre 1967, et la maîtrise d’ouvrage est confiée à l’Office public HLM interdépartemental de la région parisienne OPDHLMIRP. Les travaux sont réalisés par l’entreprise Bouygues qui construit 3 775 logements de 1967 à 1971 3 479 logements collectifs à loyer modéré dont 3 115 sur la commune de Grigny et 364 sur celle de Viry-Châtillon, 206 logements individuels et 90 habitations pour les Logements et Gestion immobilière de la Région Parisienne LOGIREP6. En 1969, la petite commune de Grigny hérite d’une ville imposée dont elle n’a pas planifié la genèse et qu’elle n’a pas les moyens d’entretenir7. En effet, Grigny ne bénéficie pas des effets de la TLE Taxe Locale d’Équipement votée deux ans plus tôt, et qui offre une aide financière aux communes en vue de la réalisation de structures et d’équipements induits par l’urbanisation. Cette situation se traduit très vite par un isolement de plus en plus accru de la cité. Cloisonnée par d’importants axes routiers, et coupée du centre de la commune par l’A68, la Grande Borne manque cruellement d’équipements collectifs, d’infrastructures et de moyens de transport. Au début des années 1980, les malfaçons du bâti viennent s’ajouter aux désagréments liés à enclavement. En effet, l’isolation thermique et phonique des bâtiments a fait les frais de la course aux bas prix, et les logements sont gangrenés par des défauts de construction. Les immeubles ont été construits dans une logique qui a mis en avant le contrôle des coûts de production, au détriment de la qualité du bâti. En 1982, sous la pression d’habitants en colère, plus de 750 logements de la cité de la Grande Borne sont enfin déclarés insalubres et inaptes à être occupés9. Les malfaçons et la vétusté précoce des bâtiments seront aussi aggravées par les difficultés financières de la commune de Grigny et le manque de structures d’entretien. La cité vit durement les effets de la crise économique des années 1970 qui accroît la masse de familles pauvres et celles des étrangers. Les classes moyennes françaises profitent des programmes gouvernementaux d’accession à la propriété, et dès le milieu des années 1970, elles fuient en masse les HLMs afin de s’installer dans des pavillons. Ils sont progressivement remplacés par des immigrés venus des anciennes colonies françaises10. Le transfert de populations s’effectue de plus en plus entre la Grande Borne et le grand ensemble voisin de Grigny 2 qui traverse aussi de fortes turbulences socio-économiques. Cet échange en vase clos renforce la présence en masse de populations précaires. En 2013, le taux de couverture de la population de la Grande Borne par les Caisses d’Allocations Familiales s’élevait à 70,5 % contre 43,8 % pour l’unité urbaine Paris11. Pour Alec Hargreaves, c’est aussi à partir de ce moment de fuite des classes moyennes françaises que les zones périphériques comme la Grande Borne deviennent progressivement synonymes d’altérité ethnique Hargreaves, 2006 12. ———- La Grande Borne dans l’imaginaire national En 1981, le traitement médiatique de l’été chaud des Minguettes consolide dans l’opinion publique l’idée d’un malaise des espaces urbains périphériques. Dans son édition du 22 septembre 1981, le journal télévisé d’Antenne 2 révèle l’émoi considérable généré par ces premières émeutes urbaines12. C’est une France sous le choc qui découvre les images de véhicules en feu et le mal-être de toute une génération exprimée dans la violence et la destruction. Constitué en majorité d’enfants dits de la deuxième génération » de l’immigration africaine et maghrébine, ce groupe subit de plein fouet l’impact de la crise économique des années 1970 et la montée de la méfiance vis-à-vis des immigrés. Pendant quatre-vingt-treize jours, une partie de ces jeunes va s’engager dans une véritable guérilla urbaine avec les forces de l’ordre et détruire propriétés privées et symboles de l’État dans la cité. Le saccage des édifices publics et des biens privés inscrit dans le paysage urbain les difficultés d’insertion sociale et économique. L’ampleur des destructions et la découverte de centaines de carcasses de voitures brûlées entérinent dans l’opinion publique l’existence d’une peur des banlieues » Rey, 1996 44. Bien que les premières émeutes de grande envergure ne touchent la Grande Borne qu’en Septembre 2000, la cité fait régulièrement l’actualité pour la violence de ses groupes de jeunes, l’emprise des trafiquants de drogue, et les vagues de violence qui font fuir services publics et privés. Après les attentats des 7, 8 et 9 janvier 2015, la cité opère un retour exceptionnel sur la scène nationale. Son nom est désormais régulièrement rattaché à celui d’Amedy Coulibaly, originaire de la Place aux Herbes et auteur des tueries de Montrouge et de l’Hyper Casher de la Porte de Vincennes. — Les mots des Grignois Face à l’horreur des journées de janvier 2015 et la pression médiatique subie par les habitants de la cité, deux collectifs vont se soulever afin d’agir sur la vision et les représentations de leur lieu de vie. Élan Citoyen » est un groupe créé aux lendemains des attentats, afin de libérer la parole des Grignois et fournir un exutoire aux habitants profondément choqués. C’est une association laïque et sans attaches politiques, dont les membres, tous Grignois, sont d’origines ethniques et d’appartenances religieuses diverses. L’association regroupe des habitants, parents et citoyens de Grigny [qui refusent] la fatalité qui consisterait à condamner [leurs] enfants et [leurs] jeunes ». La première action d’envergure a été l’installation, les 3 et 7 février 2015, de Murs de la parole », d’immenses blocs de papiers installés devant les marchés et hypermarchés de la ville. L’initiative visait à débloquer, écouter et collecter la parole et les sentiments des Grignois face à l’atrocité des actes, mais aussi à interpeller l’opinion nationale sur les dangers des amalgames. Les murs furent vite remplis de mots qui témoignaient du désir des habitants de libérer une parole coincée par la violence des actes, de partager leurs peurs face à la dérive de l’un des leurs, et de dire leur frustration devant la déferlante médiatique. Ces mots montraient des Grignois, qui, à l’instar de leurs concitoyens, étaient traversés par la colère, l’incompréhension, la peur et le désir de se mobiliser contre l’horreur et la dérive. Élan Citoyen » a poursuivi cette première initiative en installant des relais de paroles où les habitants étaient invités à partager un mot, une pensée, un projet, de manière anonyme, ou autour d’une tasse de café. Ces espaces de rencontre improvisés et disséminés dans la cité permettaient aux habitants d’échanger, de tisser un lien social qui s’était lentement délité, tout en se réappropriant des portions de leur territoire. De par son appellation même, Élan Citoyen » s’inscrit dans le sillage d’un mouvement républicain et d’un désir de partager une émotion collective avec le reste de la France. En ce sens, les mots recueillis réintègrent Grigny et la Grande Borne dans le groupe national et s’érigent contre les représentations qui les peignent sous les traits de territoires perdus de la République. Les initiatives d’ Élan Citoyen » ont été modestement relayées par la presse et les journaux télévisés nationaux, avec moins d’une dizaine d’articles parus dans des quotidiens tels que Le Parisien ou Les Échos. À titre de comparaison, à la mi-janvier 2015, on trouve plus d’une centaine d’articles dans des journaux de référence, en France et à l’étranger, sur la sœur de Coulibaly et le studio de danses urbaines dont elle est propriétaire. Ces choix éditoriaux expliquent sans doute ces mots laissés par un habitant sur l’un des espaces de paroles ouverts par Élan Citoyen » Nous ne sommes pas responsables de ce qu’un homme a fait. Ne venez pas ici chercher Coulibaly. Cherchez les Grignois, parlez-nous et vous saurez qui nous sommes ». Tout de même, il est important de constater que malgré la faible couverture médiatique, l’évocation de cette initiative au niveau national participe d’un début d’élaboration d’un récit qui prenne en compte les contributions et les voix des Grignois. Ces derniers ne sont plus seulement parlés », pour emprunter l’expression de Bourdieu, mais deviennent acteurs et producteurs de l’information. Un article du Parisien consacré à l’initiative parle de la volonté des Grignois de se réapproprier leur image ». L’article reprend la bulle d’un habitant pour qui Ce sont toujours les mêmes qui parlent de l’islam dans les médias. On veut s’exprimer mais il n’ y a pas la possibilité. Qu’on nous ouvre les outils de la République ! ». Dans sa livraison du 12 février 2015, Le Républicain titre sur le désir des habitants de ne plus subir le flot médiatique ». Les habitants interrogés s’y insurgent contre les représentations externes et souhaitent montrer leurs villes sous toutes leurs facettes, des plus sombres aux plus positives. Le travail de l’association a eu un énorme écho dans les médias associatifs et municipaux dans l’Essonne et le reste de la région parisienne. L’analyse de paroles glanées montrent l’impact thérapeutique de cette initiative pour les Grignois et les habitants de la Grande Borne Au début, je ne voulais pas en parler. J’avais honte que mon quartier soit encore associé au mal. Des journalistes sont venus du monde entier pour nous voir comme si nous étions des monstres. Je suis fière de voir les gens de mon quartier unis et ensemble pour dire non au mal. Ça montre au reste de la France que nous souffrons avec eux ». Les feuilles noircies disent aussi l’attachement viscéral à la cité et le quotidien de la vie à la Grande Borne, comme dans un effort de contrebalancer le traitement médiatique à charge de la ville. Les organisateurs d’ Élan Citoyen » ont été dépassés par l’engouement populaire autour de leur initiative, par la diversité d’âge et d’origine des personnes venues apposer un dessin, un mot ou une phrase sur les espaces de paroles ouverts. L’association travaille actuellement en étroite collaboration avec des sociologues afin d’assurer la pérennité de son action sur le terrain. La seconde action importante est celle de Reporter Citoyen » qui s’est engagé à replacer les Grignois au centre de la production d’informations sur leur environnement. Reporter Citoyen » est une initiative supportée par la plateforme indépendante et associative LaTéléLibre et l’École des Métiers de l’Information de Paris. Elle ouvre les portes des métiers de journalisme à des jeunes issus des quartiers sensibles d’Île-de-France en leur offrant gratuitement une formation de trois ans. Le 17 janvier 2015, de jeunes reporters publient un manifeste accompagné d’une tribune vidéo intitulée Nous Reporters Citoyens Refusons les Préjugés »13. Dans la vidéo, huit étudiants originaires de Grigny, mais aussi de Viry-Châtillon, Créteil, Saint-Denis et l’Île-Saint-Denis apportent une réponse en trois parties à un article du quotidien Le Figaro paru le 15 janvier 2015 intitulé À Grigny, la ville de Coulibaly, la théorie du complot va bon train ». Dans la première partie, ils s’insurgent contre les amalgames dont ils s’estiment victimes, en refusant par exemple d’être comparés à des herbes folles condamnées à devenir de mauvaises graines », que l’on prenne la parole de quelques jeunes collégiens immatures pour l’opinion de tous » ou encore que les journalistes viennent dans [leur] quartier comme au zoo, pour voir des animaux ». Dans le seconde partie, ils demandent à être respectés en tant que citoyens, Français et êtres humains », que l’État reconnaisse ses erreurs et prenne ses responsabilités » ou encore que la presse traite et relaie de manière équitable l’information ». Enfin dans la troisième partie, les jeunes reporters citoyens se déclarent solidaires de toutes les victimes », de toutes les familles en deuil » et de toutes les actions qui favorisent le vivre ensemble ». Pour ces futurs journalistes aux origines ethniques diverses, l’horreur des actions d’Amedy Coulibaly braque les projecteurs de la presse nationale et mondiale sur toute une ville, au risque de ne mettre en lumière que les comportements radicaux. Dans leur tribune, ils s’insurgent contre la vision tronquée de Grigny et des banlieues en général. Ils condamnent fermement la barbarie de janvier 2015, en affirmant, l’un après l’autre, puis d’une même voix leur attachement à la paix, à la République et à ses valeurs. Ces intervenants offrent un regard neuf sur le signe que représente le jeune de banlieue ». Popularisé au début des années 1990 par des journalistes du quotidien Le Monde, le terme est vite repris dans les analyses sociales et politiques de la banlieue. Il renvoie aujourd’hui à une image fixe, celle d’un individu en rupture avec la société âgé de moins de 25 ans, il est facilement reconnaissable à sa piètre maîtrise du français, à son éternelle tenue de sport et à sa casquette vissée à l’envers. Dans Portrait du décolonisé arabo-musulman et quelques autres » paru en 2004, Albert Memmi met en évidence la confusion sémantique qui s’est installée entre jeune » et enfant d’immigré » Jeunes Maghrébins » ne valait guère mieux, c’était encore d’une certaine manière une exclusion, une insistance sur la différence ; c’est pourquoi on réduisit les enfants d’immigrés à l’adjectif jeunes, en référence seulement à leur âge, même s’il s’agissait d’une jeunesse particulière, qui ne répondait pas aux critères, aux préoccupations à l’avenir des autres jeunes. Memmi, 2004 137 Vulgarisé par les discours publics, le terme jeune » est aujourd’hui devenu synonyme de Français issus de l’immigration ». En décembre 2010, la secrétaire d’État à la Famille Nadine Morano met ce phénomène en relief lors d’un débat local sur l’identité nationale. Interrogée sur la jeunesse de banlieue, elle déclare Moi, ce que je veux du jeune musulman, quand il est Français, c’est qu’il aime son pays, c’est qu’il trouve un travail, c’est qu’il ne parle pas le verlan, qu’il ne mette pas sa casquette à l’envers »14. Outre le raccourci hâtif établi ici entre jeune de banlieue » et jeune musulman », il est intéressant de noter que la seule évocation d’un mot en apparence anodine suffit à invoquer les fantasmes les plus divers, de la menace que constitue la rupture sociale d’une frange de la population à la peur de l’invasion religieuse. Pour le sociologue Francis Truong, cette rhétorique n’est pas sans conséquence car Parler du jeune de banlieue revient à enfermer une jeunesse plurielle sous un stigmate unique […] la réduisant à l’image de la racaille incivile ou à celle de la victime sociale. Condamnables ou excusable »15. Les membres de Reporter Citoyen » se réapproprient ce terme et l’arriment fermement au centre de leur activité journalistique. En associant cette expression à leur ancrage à la République, à leur attachement à la justice et à l’équité des représentations, ils dévoilent le large éventail de personnages qui peuplent l’espace des banlieues, et ébranlent la figure symbolique d’une jeunesse uniforme à la dérive. Cette initiative a été largement relayée par la presse française et internationale, et il est à noter que ce groupe est désormais très sollicité par les politiques dans la recherche d’une solution commune à la situation actuelle de Grigny et des zones périphériques sensibles. Aujourd’hui, force est de constater que la banlieue est plus connue à travers le discours des médias et celui des édiles politiques qu’à travers les productions de ses habitants. Ces discours forgés de l’extérieur ont pour conséquence la création dans l’inconscient collectif d’images qui dépassent et effacent la réalité de la périphérie. En analysant la fabrique de ces images, Pierre Bourdieu constate en 1993 Parler aujourd’hui de banlieues à problèmes ou de ghetto, c’est évoquer, presque automatiquement, non des réalités d’ailleurs très largement inconnues de ceux qui en parlent le plus volontiers, mais des fantasmes, nourris d’expériences émotionnelles suscitées par des mots ou des images plus ou moins incontrôlées, comme ceux que véhiculent la presse à sensation et la propagande ou la rumeur politique. » Bourdieu, 1993 249. Bourdieu parle ainsi d’ effets de lieu » afin d’illustrer les associations qui se mettent en place entre territoires, discours et fantasmes. Écrivain et éducateur social, Étienne Liebig lui emboîte le pas lorsqu’il déclare qu’on en arrive à ne plus observer objectivement le réel, mais à interpréter selon une grille fantasmée les comportements des habitants des quartiers, consolidant encore le mur invisible qui sépare les banlieues du reste du pays » Liebig, 2010 2. Selon Liebig, les banlieues se sont durablement installées dans l’imaginaire collectif comme un lieu exotique, une zone de relégation et la quintessence du mal. Tout y possible, tout peut s’y faire » Liebig, 2010 2. Pour la sociologue Marilla Amorim, parler de la banlieue revient implicitement à évoquer la ville, de la même manière qu’utiliser le terme périphérie » évoque l’existence d’un centre » Amorim, 2002 24. Cette position laisse apparaître les liens et oppositions qui peuvent exister entre ces différents territoires villes et périphéries et informent la mise en place de leur construction discursive. Espaces et discours sont indissociables et pour la géographe Mélina Germes, l’espace est constitué par les discours en ce que les significations d’un espace ou d’un lieu sont élaborées, discutées, façonnées par les différents discours » Germes 2012 517. En France, le discours sur la ville est fortement marqué depuis plus d’une décennie par la question des espaces périphériques qui sont devenus des lieux de la marginalité, des champs de la sauvagerie moderne, […] lieux des incivilités, de la solitude et des inégalités les plus criantes » Dubet, 1995 52. La banlieue est le résultat de planifications architecturales et politiques, mais aussi le fruit de perceptions et de projections qui vont cristalliser dans l’opinion publique l’idée de zones de non-droit et de relégation. En réaction à ces discours qui disent ce territoire du dehors, des mouvements tels que Collectif Élan Citoyen » et Reporter Citoyen » se fixent comme double objectif de dire leur territoire dans sa banalité et de démontrer l’attachement de ces habitants à une identité française multiple. L’écriture substitue ainsi habilement la peinture du quotidien aux représentations et à l’exceptionnalité des événements. Perec attire notre attention sur le paradoxe d’un quotidien qui devient opaque à force d’être trop évident Ce que nous appelons quotidienneté n’est pas évidence, mais opacité, une forme de cécité, une manière d’anesthésie » Perec, 1974 IVe de couverture. Dans le cas de la banlieue, cette réflexion prend un double sens qui éclaire l’entreprise de ces deux collectifs. Perec dénonce la cécité dans laquelle nous plongent les automatismes et l’éternelle répétition des événements. Pour le sociologue, seule l’écriture et l’interrogation de ces habitudes sont à mêmes de venir à bout de l’opacité de l’habitude. Ce parallèle est extrêmement saillant pour la banlieue en ce sens que cet espace est enfermé dans des préconceptions que l’on peut comparer aux automatismes perequiens. L’écriture du quotidien de la banlieue apparaît comme une alternative saine afin de lever le voile qui s’est abattu sur la périphérie. Les voix et actions de ces Grignois sont autant d’encouragements à ne plus penser l’identité et le territoire en termes de catégories fixes. Le chemin de la réhabilitation est encore long. Il passe par les efforts de renouveau urbain, la prise en compte des erreurs du passé et l’impératif du vivre ensemble », mais aussi par un changement des représentations dans et en dehors de la cité. En ce sens, les actions de Reporter Citoyen » et Élan Citoyen » sont exemplaires. Mame-Fatou Niang ——– Mame-Fatou Niang enseigne la littérature française et francophone à Carnegie Mellon University Pittsburgh, USA. Mame-Fatou Niang s’intéresse aux questions urbaines dans la littérature française contemporaine, ainsi qu’à l’étude de la diaspora noire en Europe. Elle a récemment publié Mères migrantes et filles de la République Identité et Féminité dans le roman de banlieue », in Hervé Tchumkam Dir., La France face à ses Banlieues, Présence Francophone 80 2013 p. 60-84 ; et Urbanités Féminines dans le roman Caribéen », in Gladys M. Francis Dir., Amour et genre dans la littérature franco-caribéenne, Vents Alizés à paraître 2015. mniang AT DOT edu — Couverture La cité de la Grande Borne, Grigny Niang, 2015 —— Bibliographie Aillaud E., 1968, Tribune Libre Qu’est-ce qu’une ville ?, Paris, Cahiers de l’IAURP, 11 p. Aillaud E., 1972, La Grande Borne à Grigny [Une ville, essai de réponse], Paris, Éditions Hachette, 189 p. Amorim M., 2002. La ville comme un autre et l’autre de la ville », in Amorim M. Dir., Images et discours sur la banlieue, Paris, Eres, pp. 43-69. Bourdieu P., 1998. Effets de Lieu », in Bourdieu P. Dir., La Misère du Monde, Paris, Éditions du Seuil, pp. 249-250. Dubet F., 1995. La Galère Jeunes en survie, Paris, Fayard, 241 p. Germes M., Schirmel H., Brailich A. et al, 2012, Les grands ensembles de banlieue comme menaces urbaines ? Discours comparés – Allemagne, France, Pologne », Annales de géographie, Vol. 2010, n° 675, pp. 515-535. Hargreaves 2006, A Deviant Construction The French Media and the Banlieues », in New Community 22, pp. 607-618. Lapeyronnie D., 1999. Contre-monde. Imitation, opposition, exclusion », in Les Annales de la Recherche Urbaine, pp. 83-84. Liebig E., 2010, Les pauvres préfèrent la banlieue, Paris, Michalon, 192 p. Maspero F., 1990, Les passagers du Roissy-Express, Paris, Seuil, 328 p. Memmi A., 2004, Portrait du décolonisé arabo-musulman et quelques autres, Paris, Gallimard, 224 p. Milliot V., 2003, Ville Fragile et Paroles Vives Notes sur le rôle de l’oralité dans le contexte des banlieues-mondes » in Martin et Decourt N. Dir., Littérature orale. Paroles vivantes et mouvantes, Lyon, Presses Universitaires de Lyon, pp. 134-146. Perec G., 1974, Espèces d’espaces, Paris, Éditions Galilée, 200 p. Rey H., 1996, La peur des banlieues, Paris, Les Presses de Sciences Po, 128 p. Rosello M., 1997, North African Women and the ideology of modernization From bidonvilles to cités de transit and HLM » in Hargreaves A. G. and McKinney M. Dir., Immigration, Race’ and Ethnicity in Contemporary France, London and New York Routledge, pp. 240-254. ——— Dans la même veine iconoclaste et poétique, Émile Aillaud 1902-1988 réalise entre autres le quartier Pablo Picasso à Nanterre et les Courtilières à Pantin. Aillaud imagine des bâtiments, tiges végétales en forme de labyrinthes, qui s’élèvent entre arbres plantés et nuages dessinés. [↩]Pernoud G. et Van Der Gucht G., La France défigurée, Office National de Radiodiffusion Télévision Française, 10 Décembre 1972, Télévision, [↩] Bien que la banlieue désigne tout espace situé à la périphérie d’une ville, le sens de ce terme a beaucoup évolué. Aujourd’hui, il désigne aussi une réalité sociale, économique et mentale qui exclut par exemple les banlieues chics de Paris, Lyon ou Bordeaux que sont Neuilly, Écully ou Caudéran. Son évocation mobilise presque instantanément un réseau de fantasmes et de représentations négatives. Le terme mythologie urbaine » fait référence à l’ensemble des représentations mentales qui se sont développées autour des banlieues, et plus spécifiquement, autour du type d’habitat urbain social délabré occupé par des populations en grande précarité économique et composée, pour une part importante, d’immigrés ou de Français d’origine étrangère. [↩]Archives départementales de l’Essonne [↩]Vidéo disponible à l’adresse [↩] [↩]Ces villes imposées seront aussi implantées dans les communes d’Orsay le complexe des Ulis, de Viry-Châtillon la cité de la Cilof ou de Vigneux-sur-Seine La Croix Blanche. Malgré les nombreux refus des communes, la construction est autorisée par la puissante DGEN Direction Général à l’Équipement National grâce à qui l’État se substitue aux villes en matière d’urbanisme. [↩]En 2002, un pont est construit sur l’A6 et relie enfin la cité au centre de la commune de Grigny. [↩]Maison de Banlieue et de l’Architecture. Conseil d’Architecture, d’Urbanisme et d’Environnement de l’Essonne. Centre de Ressources Politique de la Ville en Essonne. Cahier N° 11 de la Maison de Banlieue et de l’Architecture. mi-décembre 2005. [↩]Dans les vingt années qui suivent l’implantation des HLM, la banlieue se caractérise de plus en plus par un fort marquage immigré. En 1985, plus de 60 % des 65 000 habitants de la commune des Minguettes à Lyon était d’origine étrangère, et près de 55 nationalités différentes se côtoyaient dans l’espace de la cité Hargreaves, 2006 12. À la Grande Borne, l’immigration participe considérablement à la croissance démographique puisque 23,5 % de la population était originaire de l’étranger en 1999. Il est possible de consulter tous ces chiffres sur le site du Système d’information géographique de la politique de la ville [↩]Sources Caisse Nationale d’Allocations Familiales 2011 – Iris, INSEE 2010 – Iris, Caisse Nationale d’Allocations Familiales 2011 – Commune, INSEE 2010 – Commune, Caisse Nationale d’Allocations Familiales 2011 – Unité urbaine, INSEE 2010 – Unité urbaine [↩] [↩]La tribune sera aussi publiée dans Le Monde du 16 janvier 2015. [↩]Discours prononcé le 14 Décembre 2010 à Charmes Vosges. L’intégralité de l’intervention est disponible ici [↩]Fabien Truong, Le jeune de banlieue n’existe pas. » Libération. [Paris] 11 Avr. 2010. [↩]Madamede Sévigné l’avait surnommée « la Cité Jolie », non seulement pour la beauté de son paysage hors du commun, mais surtout pour la richesse de son patrimoine culturel et naturel. Il n’est pas rare que vous trouviez des remparts gallo-romains lors de votre promenade. Ne manquez pas le beffroi du 15e siècle qui est unique en Normandie. La Cité épiscopale Les trois Tours de La Rochelle sont sur toutes les cartes postales. Les vacanciers les immortalisent sous tous les angles avec leur appareil photo. Il est donc impossible de les manquer. Alors je vous conseille vivement d’inscrire la visite des Tours de La Rochelle dans votre planning de vacances en Charente-Maritime. Depuis le Moyen-Age, elles symbolisent la cité. Construites pour la défense, tantôt prison, tantôt gardienne du port, tantôt amer pour les bateaux, elles sont aujourd’hui ouvertes à la visite. Elles offrent également de magnifiques espaces d’exposition et fournissent de superbes vues sur le port et la ville rebelle. Découvrez-les tous les jours sauf les premiers lundis du mois, le 1er mai, le 25 décembre et le 1er janvier. Toutes les trois classées au titre des monuments historiques depuis 1879 elles accueillent près de 130 000 visiteurs par an. Attention toutefois, la Tour Saint-Nicolas est fermée à la visite depuis mars 2019 pour travaux. Rendez-vous sur le site des Tours de La Rochelle pour connaître la date de réouverture. Les tours de La Rochelle par Bernard Jouan, artiste peintre La Tour de la Lanterne ou dite des Quatre sergents » Accessible par la rue Sur les Murs, ce bel édifice médiéval évoqué par Rabelais dans Pantagruel, est un vestige d’un ancien rempart médiéval. Edifiée en 1445, elle culmine à 55 mètres de hauteur et offre une flèche octogonale de style gothique d’une trentaine de mètres posée sur une base cylindrique d’un diamètre de 15 mètres. Erigée en tour de défense pour protéger l’entrée du port, elle servi également d’amer et de phare pour les navigateurs. C’est du reste le plus ancien phare de France. Un cierge y était maintenu allumé dans la tourelle vitrée pendant la nuit. Au fil des siècles et des guerres, elle se transformera en lieu d’incarcération militaire. C’est au milieu du 19ème siècle, que des étages furent ajoutés dans sa flèche. La Tour de la Lanterne ©isabel Cinq siècles d’histoire et de changement de nom Depuis le Moyen-Age, et en fonction d’évènements plutôt sombres qui s’y déroulèrent, la Tour de la Lanterne change plusieurs fois de nom. Elle est Tour du Garrot lorsque qu’on y ajoute un cabestan pour le désarmement des bateaux entrant dans le port. Tandis que La Rochelle devient protestante en 1568 et que les catholiques fuient la cité, on la surnomme la Tour des Prêtres. En effet, 13 prêtres ont été enfermés puis assassinés en ces murs. Pour finir, ce c’est la Tour des 4 Sergents, conspirateurs bonapartistes qui y sont emprisonnés avant leur exécution à Paris. Devenue musée, elle retrace son histoire médiévale et offre aux visiteurs de nombreux graffiti témoignant de ses heures les plus sombres. N’hésitez pas à retourner la voir à la nuit tombée, car elle est encore plus belle et élégante parée de lumière. La Tour de la Chaîne, une des Tours de La Rochelle Tout comme sa voisine la Tour Saint-Nicolas, elle magnifie l’entrée du vieux port. Cependant, elle a perdu de la hauteur puisqu’à l’origine elle culminait à 34 mètres de hauteur contre 20 mètres aujourd’hui. Cette belle forteresse médiévale protégeait l’entrée du port du temps ou la ville portait le surnom de La Rochelle Porte Océane. Elle abritait également son capitaine, sa famille et la garnison. C’est la chaîne qui tendue chaque soir entre elle et sa tour voisine pour empêcher les navires d’entrer au port qui lui a donné son nom. Quant à la date de sa construction, elle reste incertaine. L’ingénieur cartographe Claude Masse ainsi que d’anciens documents situent sa construction entre 1378 et 1390. A l’époque, une plus petite tour existait qui fut détruite pour agrandir l’entrée du port. Celle-ci servait d’abri pour le cabestan permettant de tendre la chaîne. Tout comme les autres Tours de La Rochelle, elle servit de prison mais également de logis au gouverneur de La Rochelle. La Tour de la Chaîne ©isabel On peut voir encore aujourd’hui, cette chaîne au pied de la Tour. Toutefois, je doute que les passants qui foulent le quai ne la remarquent. Au fil des siècles entre destruction et reconstruction, la Tour de la Chaîne est depuis 1998 un musée retraçant le passé Huguenot de La Rochelle. De nombreuses expositions temporaires y sont organisées, notamment une exposition sur La Nouvelle France ». Par ailleurs, un plan relief de La Rochelle y est exposé. La Tour Saint-Nicolas, la plus emblématique des Tours de La Rochelle Faisant face à la Tour de la Chaîne, elle a assuré durant cinq siècles la protection du port grâce à la chaîne tendue entre elles deux. C’est par elle que débute la construction des tours de défense de la ville aux alentours de 1345. On raconte que ce serait la Fée Mélusine qui, survolant La Rochelle avec des pierres d’un château détruit en aurait fait tomber la plupart, formant ainsi la Tour Saint-Nicolas. Pourquoi pas ? Construite en pierres de taille, d’une hauteur de 37 mètres elle est dirigée face à la mer. Toutefois, l’état des sols marécageux de l’époque contraint de nombreux arrêts lors de sa construction. Ainsi, ses fondations, à la manière de la construction de Venise, sont renforcées par de longs piliers en chêne enfoncés dans la vase et maintenus par de grosses pierres. Cependant, même avec ce procédé, et compte tenu du poids du bâtiment, elle s’affaisse d’une vingtaine de centimètres. Du reste, si vous observez bien, vous verrez encore aujourd’hui que la tour penche légèrement vers l’est. Son utilisation Au cours des XVI et XVII siècles, elle sert de poudrière, de dépôt d’armes et de prison. Ainsi, de nombreux Huguenots lors de l’Edit de Nantes ou de Chouans pendant la Révolution, y ont été emprisonnés. Ornement en pierre sculptée ©isabel Appartenant au domaine militaire, elle subit de nombreux aménagements entre 1695 et 1698. Après d’autres modifications, en 1905 elle passe du ministère de la guerre au ministère des Beaux-Arts. La Tour Saint-Nicolas et sa voisine à droite, la Tour de la Chaîne Visiter la Tour Saint-Nicolas est un passage quasi obligé lorsque l’on séjourne à La Rochelle. En effet, du 1er au 5ème étage, vous pourrez apprécier son architecture, les objets et les gravures exposés. Les salles se succèdent présentant de magnifiques voûtes d’ogives, des corridors et de beaux escaliers ainsi qu’une magnifique chapelle. Vous n’aurez peut-être pas de mal à vous imaginer la vie ici au temps du Moyen-Age. Pour finir, au cinquième étage, sur la terrasse, une superbe vue à 360° de La Rochelle s’offrira à vous. Les Tours de La Rochelle, connues de par le monde Depuis déjà plusieurs années, La Rochelle et surtout, la Tour Saint-Nicolas est souvent le site européen choisi pour le championnat du monde de plongeon le Red Bull Cliff Diving ». Du haut du plongeoir installé à 27m de haut sur la Tour Saint-Nicolas, les plongeurs du monde entier s’affrontent sur des plongeons plus spectaculaires les uns que les autres. Au plus grand plaisir des 70 000 spectateurs qui viennent les encourager à chaque passage. La Rochelle sera-t-elle encore choisie cette année ? Réponse sur le site du Red Bull Cliff Diving. Championnat du monde de plongeon du haut de la Tour Saint-Nicolas, le Red Bull Cliff Diving Pour être sincère, je n’ai pas encore visité toutes les Tours de La Rochelle. Cependant, je ne peux que vous conseiller d’y aller. Aussi, dés mon prochain passage à La Rochelle, je ne manquerais pas de les visiter. On dit souvent que les cordonniers sont les plus mal chaussés… et bien moi j’ai encore beaucoup de choses à voir en Charente-Maritime. Où poser ses valises ? En toute indépendance, avec une vue exceptionnelle sur les Tours de La Rochelle, cet appartement vous attend. Certes vous ne serez pas au coeur de la vieille ville, mais vous serez au calme et bien accueillis. Le plus… le stationnement facile ! Vous voulez une vue sur les tours ? Alors, rendez-vous à l’hôtel de la Tour de Nesle. Un petit hôtel charmant au coeur de la vieille ville, l’hôtel Saint-Nicolas. Jolies terrasses, bel accueil et proche des points touristiques dans un quartier animé. Un coup de coeur pour l’Hôtel Le Rochelois où j’ai séjourné. Face à la mer, à 500m à pied de la Tour Saint-Nicolas, vous serez bien accueilli. Le petit déjeuner y est copieux, les chambres spacieuses et propres. Les plus une piscine extérieure, une salle de sport en accès libre et une vue imprenable sur la mer. Et par temps clair au loin on aperçoit Fort Boyard. Pour les budgets plus restreints, l’Ibis Budget La Rochelle Centre. L’auberge de jeunesse de La Rochelle, est installée au port des Minimes avec une jolie vue sur la mer. Il vous faudra une vingtaine de minutes de marche pour rejoindre le vieux port. Mais l’accueil y est parfait. Le coin des lecteurs Les Tours de La Rochelle, par Jean-Claude Bonin et Nicolas Fauchère La Rochelle, Histoire d’un port, par Frédéric Barrault Pour en savoir plus sur la Tour de la Lanterne, un article passionnant de Maxime Morlaine Les négociants de La Rochelle au XVIIIème siècle, par Brice Martinetti Le commerce maritime de La Rochelle à la fin du Moyen-Age, par Mathias Tranchant Et bien sûr wikipédia si vous souhaitez tout savoir sur la Tour Saint-Nicolas, la Tour de la Lanterne ou la Tour de la Chaîne. Les informations données sont pointues.
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Type d'établissement Résidence services seniors Appartement Cette résidence propose des appartements En construction Cette résidence est actuellement en construction Privé Cette résidence fait partie du secteur privé Description de la résidence LE DOMAINE D'AGATE Située dans l'Aisne en Hauts-de-France, Soissons 02 surnommée "Cité du Vase" est connue pour avoir été la 1ère capitale de la France bien avant Paris. Les nombreux espaces verts de la ville invitent à la détente et à la flânerie. Ainsi, c'est au cœur de cet environnement de choix que la résidence Le Domaine d'Agate sera implantée. Respectueuse de son environnement, elle offrira aux résidents, une qualité de vie certaine à proximité immédiate du centre-ville. Ville à la campagne ou campagne à la ville, chacun apprécie ici de pouvoir profiter d’un cadre de vie accueillant associé à la douceur de vivre d’une ville à taille humaine. Mot de la direction Emmanuelle MARBAIX-WALERA Notre résidence s'inspire du passé historique de la ville, et intègre une touche de modernisme propre à Domitys. Ainsi, notre résidence conserve la maison de maître présente sur les lieux, vieille de 200 ans. Nous proposons aux résidents un environnement sain avec tous les équipements et services pour un cadre de vie serein et sain. Services Si vous avez besoin Notre équipe, discrète et bienveillante, est à l'écoute de vos besoins et de vos envies, 24h/24 et 7J/7, et se tient à votre disposition petits travaux, coordination avec les intervenants externes, etc.. Pour vous faciliter le quotidien, bénéficiez d’une large palette de services à la carte blanchisserie, ménage, aide aux transports, conciergerie, etc.. Si vous avez envie En plus de votre appartement, seul, à plusieurs ou en famille, profitez pleinement de nombreux espaces mis à votre disposition jardin, bar, bibliothèque, espace forme & beauté et piscine. Chaque jour, au restaurant, le chef et son équipe vous proposent des plats cuisinés sur place avec des produits de saison à déguster seul, avec vos voisins ou vos proches. Découvrez la vie en résidence en participant aux activités, événements et excursions proposés. Environcinq mille âmes habitent cette cité commerçante dynamique dont l’histoire remonte à la Préhistoire avec la découverte d’objets (grattoirs, haches, vases). Au XIIe siècle, en 1189, les moines de l’ordre de Grandmont acquièrent cette terre sauvage par l’entremise de Gombeau, seigneur de Mornac. Leur mission est deBonjour, Comme vous avez choisi notre site Web pour trouver la réponse à cette étape du jeu, vous ne serez pas déçu. En effet, nous avons préparé les solutions de CodyCross Ville surnommée La cité des Vénètes ». Ce jeu est développé par Fanatee Games, contient plein de niveaux. C’est la tant attendue version Française du jeu. On doit trouver des mots et les placer sur la grille des mots croisés, les mots sont à trouver à partir de leurs définitions. Le jeu contient plusieurs niveaux difficiles qui nécessitent une bonne connaissance générale des thèmes politique, littérature, mathématiques, sciences, histoire et diverses autres catégories de culture générale. Nous avons trouvé les réponses à ce niveau et les partageons avec vous afin que vous puissiez continuer votre progression dans le jeu sans difficulté. Si vous cherchez des réponses, alors vous êtes dans le bon sujet. Le jeu est divisé en plusieurs mondes, groupes de puzzles et des grilles, la solution est proposée dans l’ordre d’apparition des puzzles. Vous pouvez également consulter les niveaux restants en visitant le sujet suivant Solution Codycross VANNES Vous pouvez maintenant revenir au niveau en question et retrouver la suite des puzzles Solution Codycross Planète Terre Groupe 20 Grille 3. Si vous avez une remarque alors n’hésitez pas à laisser un commentaire. Si vous souhaiter retrouver le groupe de grilles que vous êtes entrain de résoudre alors vous pouvez cliquer sur le sujet mentionné plus haut pour retrouver la liste complète des définitions à trouver. Merci Kassidi Amateur des jeux d'escape, d'énigmes et de quizz. J'ai créé ce site pour y mettre les solutions des jeux que j'ai essayés. This div height required for enabling the sticky sidebar
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Héritages du 7 mai au 2 juillet 2022, à la Cité Radieuse de Marseille, Unité d’habitation Le Corbusier, 280 boulevard Michelet, 13008 Marseille, galerie-philia.com.
Sommaire de l'articleRouenLes villes normandes de Deauville, Trouville, Houlgate ou HonfleurAmiensReimsFontainebleauVersaillesGivernyChablisChartresLe parc naturel de l’Oise dans la forêt de CarnelleProvinsEtretatLilleLe TouquetLa baie de sommeLe percheOrléansTroyesToursSoissons On a pas toujours la chance ou l’occasion de s’évader du quotidien et de partir loin quand l’envie nous prends mais heureusement la France et les environs de la capitale regorge d’endroits magnifique à découvrir et qui n’attendent que vous ! Voici donc une sélection, la liste est non exhaustive car il y en a beaucoup d’autres, des endroits à visiter le temps d’une journée ou d’un weekend autour de Paris afin de souffler un instant et de s’évader du quotidien. Une sélection de 20 villes et leurs alentour qui feront le bonheur de petits et grands durant une courte escapade Rouen Temps de trajets 1h40 de Paris en voiture Capitale de la Normandie réunifiée, Rouen est une ville très agréable de Seine-Maritime avec un centre ville à tomber. Bâtiments à colombages datant du Moyen-Age, monuments à tous les coins de rues, petits commerces locaux, grande et large place pour y déguster une bonne bolée de cidre, climat très doux. Rouen est vraiment une ville où il fait bon vivre le temps d’une escapade relaxante. Si vous voulez plus de précision sur les choses à faire à Rouen vous pouvez aussi lire mon article sur la ville de Rouen. Quand s’y rendre ? Il n’y a pas forcément de période clés pour se rendre dans la ville de Rouen, mais il est préférable afin d’éviter la foule de s’y rendre hors période estivale et il fait tout aussi bon vivre. Autour de la ville Il y a énormément de moyennes villes très agréables à visiter dans le coin de Rouen comme Évreux, La ville de Bouilles jumelle de Dinant en Belgique au pied de la roche, Jumièges et son abbaye, Les Andelys, ou encore la mignonne ville de Lyons la forêt. Les villes normandes de Deauville, Trouville, Houlgate ou Honfleur Temps de trajet 1H25 en voiture de Paris Deauville, Trouville, Houlgate ou Honfleur sont toutes à quelques minutes de distances en voitures et sont toutes aussi agréables les unes que les autres. Villes Balnéaires, les activités sont multiples, les restaurants tous aussi nombreux et la balade en ville ou en front de mer aussi agréables pour les unes que pour les autres. Il est la vraiment l’endroit relaxant où s’échapper pour une journée ou un weekend loin de la grisaille et de la foule parisienne. Quand s’y rendre ? Suivant la saison, on peut y pratiquer une multitude d’activités. Durant les beaux jours du printemps à l’été indien, il est possible de s’y rendre et de profiter d’une vue imprenable tout en dégustant un bon repas en terrasse ou une marche le long des bancs de sable. Les activités nautiques, les balades à vélo sont aussi quelques choses de très agréables sur ces longues côtes de littoral. Quand viennent les jours un peu plus frais, quoi de mieux que de se rendre dans ces bassins aquatiques aux grandes baies vitrées et admirer la mer de l’intérieur tout en se relaxant lors d’un séjour en thalassothérapie. Autour de ces villes Il y a énormément de petites villes accolées à la ville de Deauville, Trouville, Houlgate ou Honfleur qui sont à voir et à contempler comme le Havre, Ouistreham, Cabourg pour les villes en bordures de mer ou encore Caen, très jolie ville de Normandie. Amiens Temps de trajets 1h47 de Paris en voiture Que serait ce parler d’Amiens sans parler de sa très célèbre cathédrale qui en fait sa force mais aussi un lieu extra à visiter. Amiens, ce n’est pas que cela, c’est aussi son quartier pittoresque de la Saint-Leu chargé de son histoire de l’artisanat avec ces galeries d’art, librairies, boutiques et antiquaires. C’est aussi une ville étudiante où il fait bon vivre et bon de sortir le soir pour profiter de ces restaurants et multiples bars animés. C’est aussi une ville animée par ces marchés locaux ou de noël durant la saison, de ces promenades en calèche dans son centre ville, dans son quartier anglais ou en barque pour découvrir la ville de façon insolite à travers son quartier des hortillonnages . Amiens, c’est aussi le repère pour se promener sur les traces de Jules Verne, un ancien conseiller municipal de la ville et de retracer l’histoire dans l’un des cimetières les plus romantiques de France, dans sa maison d’Amiens. Quand s’y rendre ? Il est vrai qu’Amiens étant une ville du nord de la France, la météo n’est pas toujours au rendez vous, il est donc conseiller de vous y rendre au printemps ou été afin de profiter au maximum de la vie locale et de ces activités ou alors de prendre un tournant à 360 et d’aller découvrir cette ville durant la période de Noël et de contempler son très chouette marché de noël attention pas en vigueur en 2020 pour cause de Covid 19. Autour de la ville Vous pouvez vous rendre dans de très mignonnes petites villes du nord durant votre étape en direction d’Amiens comme Abbeville, Saint-Riquier, Gerberoy ou encore Arras. Reims Temps de trajets 1H20 de Paris en voiture Cette mignonne petite ville de province qui saura vous déconnecter de la foule parisienne apportera un peu de chaleur de par la gentillesse de ses habitants, les cafés très agréables, les évènements et les animations que la ville propose mais surtout de par ses nombreuses bulles qui pétilleront dans votre verre et surtout durant votre séjour dans cette magnifique ville de Champagne. Si vous voulez plus de précision sur les choses à faire à Reims vous pouvez aussi lire mon article sur la ville de Reims. Quand s’y rendre ? Vous pouvez vous y rendre durant le mois de Juin pendant sa fête médiévale, durant l’été pour profiter de ses terrasses et leur vue imprenable sur la cathédrale ou encore durant l’hiver pour profiter de son magnifique marché de Noël et sa mise en scène dans l’enceinte du palais de Tau qui vous transportera, petits et grands, au monde de la magie de Noël. Autour de la ville De nombreuses villes chargées d’histoire sont présentes autour de la ville de Reims comme Verzenay et son phares, Épernay et ces maisons de Champagne, Soissons, Meaux ou encore Château Thierry. Fontainebleau Temps de trajets 50 minutes en voiture de Paris Fontainebleau, c’est comme un petit Paris Un centre ville très vivant et très agréable, des restaurants locaux ou exotiques accessibles pour le quotidien ou pour les grandes occasions avec des restaurants étoilés, des pâtisseries dont la pâtisserie Cassel, un des meilleurs chocolatiers au monde, une très belle église, un lac ou il vous sera possible d’embarquer sur une de ces petites barques mais surtout, son incroyable et somptueux château. Fontainebleau est l’endroit idéal pour retrouver l’aspect d’une ville à taille humaine tout en ayant tout ce qu’il faut d’essentiel pour passer un moment agréable. Pour les plus acrobates et les plus aventuriers, comment passer à côté d’une des forets les plus fantastiques et ces nombreux rochers à escalader dans la foret de Fontainebleau. Quand s’y rendre ? Fontainebleau est une ville savoureuse à tout moment de l’année mais il existe un moment particulier celui de la reconstitution de la vie de Napoléon 1er et de Marie Louise au sein de la cour, le 20 et 21 avril chaque année. Toute la ville porte ses plus beaux costumes d’époque et se relais durant différentes activités, danses, cours de manières, spectacles, et passage du cortège impérial. Autour de la ville Il y a tant de choses à faire à Fontainebleau mais elle se trouve autour de nombreuses villes comme Barbizon, Versailles, Melun, Nemours, Sens, ou son petit frère comme on pourrait l’appeler, Vaux le Vicomte et son magnifique château. Versailles Temps de trajets 35 minutes de Paris en voiture Que serait Versailles sans son très célèbre château, ce magnifique lieu de résidence officielle des rois de France et ces magnifiques jardins surplombés par de magnifiques fontaines à eau et un petit lac traversable en barque. Ce lieu havre de paix nous réserve bien des mystères et de choses fantastiques à découvrir, comme son potager ou encore ses écuries et son spectacles équestre ou encore sa basse cour. Versailles ce n’est pas que cela bien que la ville tourne beaucoup autour de ce fabuleux monument, mais son centre ville, ces petits commerces, ces endroits agréable où déjeuner ou encore prendre le thé, ses jardins et parcs, la ville regorge de belles choses à découvrir. Quand s’y rendre ? Je pense que tous les moments sont idéals afin de découvrir Versailles, privilégié peut être les périodes hors vacances scolaires afin d’éviter la foule de touristes et profiter plus paisiblement des environs. Autour de la ville Versailles est entouré de lieux très agréable où se balader comme Rambouillet, la vallée de chevreuse, Saint Quentin en Yvelines, Boulogne Billancourt. Giverny Temps de trajets 1h10 en voiture de Paris Quoi de mieux que la ville phare des impressionnistes pour découvrir l’art et la peinture que Giverny. Ville agréable et toute en délicatesse, les couleurs de Giverny, ses petits commerces locaux, ses petits magasins d’art et ses deux musées, seront le lieu idéal pour une journée hors du temps. Claude Monet à su piocher son inspiration dans la ville de Normandie et y a laissé son empreinte avec son magnifique jardin fleuri et sa maison de campagne. Si vous voulez plus de précision sur les choses à faire à Reims vous pouvez aussi lire mon article sur la ville de Giverny. Quand s’y rendre ? Le moment le plus agréable de l’année est de s’y rendre au printemps lors de la floraison des plantes présentent dans le jardin et de la maison de Claude Monet. Autour de la ville Il existe de nombreuses villes très agréable autour de Giverny comme Évreux ou encore les Andelys et le château moyenâgeux de Richard Cœur de Lion. Chablis Temps de trajets 2H15 en voiture de Paris La bourgogne et en particulier l’Yonne, c’est l’endroit agréable pour partir en weekend à la campagne loin de la ville et de son brouhaha tout en restant connecté avec les choses que l’on aime bien comme les marchés, les fromagers, les épiceries, les petits commerces locaux, les petits restaurants et terrasses agréables pour profiter l’été autour de la gougère locale, mais surtout les cavistes et leurs maisons de bourgogne comme le veux la région. Dégustation de vins, balade au bords de l’Yonne, c’est exactement ce qu’il faut faire lors d’un weekend ou d’une journée à Chablis et la ville saura vous le rendre. N’oublions pas les amateurs de bières car récemment une brasserie locaux à ouvert et comme le veux la tradition, celles ci sont fabriquées dans des anciens fût de vins. Quand s’y rendre ? Le moment idéal pour se rendre à Chablis est de Pâques à la Toussaint lorsque le temps est encore en faveur et que les nuits sont encore longues et agréables. Autour de la ville De nombreuses villes en Bourgogne méritent d’être visitée comme c’est le cas de Tanlay, Yrouerre, Joigny, Auxerre, Chaource, Ancy le Franc mais surtout Noyers, ville authentique aux colombages. Chartres Temps de trajets 1H20 en voiture de Paris Un peu plus au nord de notre chère capitale, se trouve la belle et historique ville de Chartres dominée par son imposante cathédrale gothique du Moyen Age, la cathédrale Notre-Dame. Surnommée la Capitale de la lumière et du parfum pour avoir en son enceinte le centre mondial de ressources en parfumerie-cosmétique et une histoire animée de lumière, la ville de Chartres est tout simplement un lieu de magie. Avec pas moins de 25 églises, 1 cathédrale, de nombreux musées, palais et le château de Maintenon, la ville de Chartres saura vous replongez dans l’histoire de la ville, l’histoire de France et de tous les personnages clés qui sont passés par sa route. Après toute cette intensité au cœur de l’histoire, de visite de son incroyable centre-ville, les espaces de verdures de Chartres sont tout autant présents et ses nombreux canaux qui traversent la ville, on la surnomme, la petite Venise. Et quoi de plus français que ces petites guinguettes pour se restaurer et admirer le temps qui passe tout en se relaxant au bruit de l’eau. Quand s’y rendre ? Comme beaucoup de villes de l’Eure et Loire qui malheureusement n’ont pas la météo facile, le temps peut être très vite changeant. Il n’y a donc pas de moment clés pour découvrir la ville si ce n’est aux beaux jours pour pouvoirs profiter un maximum de la ville et de son patrimoine naturel comme historique. N’hésitez pas, tout de même à rester jusqu’à la tomber de la nuit et admirer ces monuments recouverts de lumières à partir du 11 juillet et ce jusqu’à l’hiver ou encore de profiter de sa fête des lumières à partir du 24 octobre. Autre moment emblématique et pas des moindres durant la saison estivale, chartrestivales où concert, animations et pièces de théâtre sont à l’honneur. Autour de la ville L’Eure et Loire comptent de nombreuses villes extra à découvrir autour de Chartes, tout comme la ville de Dreux non loin ou Rambouillet et vous pouvez même vous étendre au territoire du Perche, repère des parisiens en manque de nature et de plaines à perte de vue. Le parc naturel de l’Oise dans la forêt de Carnelle Temps de trajets 1h00 en voiture de Paris En plein cœur du Val d’Oise se trouve une oasis de paix et de biodiversité. Avez à son compte 975 hectares de forêts, le parc naturel de l’Oise et un petit recueil pour la faune et la flore au cœur même de la forêt de carmelle. Si vous cherchez à allier nature et découverte historique, culture, la forêt de carmelle, détient la Pierre Turquaise, une allée de pierre datant du 3ème siècle avant Jésus Christ emmenant tout droit à une butte féodale de 210 mètres d’altitude. Oui, c’est bel et bien l’un des monuments les plus emblématiques de la période de la préhistoire. Au vue de sa taille, plusieurs chemins balisés s’offrent à vous, pour en apprécier le plus possible votre promenade autour de Nesles-la-Vallée, Crécy-la-Chapelle, Saint-Martin-du Tertre ou encore de son Lac bleu et de ne manquer aucun instant ou aucune découverte de sa biodiversité cerf, chevreuil, sanglier, Buse, Pic noir, Grenouille rousse, Triton palmé et de nombreux autres. Quand s’y rendre ? Durant l’été indien ou à la fraîcheur du printemps quand la nature reprend forme et couleur, c’est le moment idéal pour s’aventurer au cœur de la forêt de carmelle. Autour de ce parc Autour de la forêt de carmelle et le parc de l’Oise se trouvent de nombreuses petites villes dont vous pouvez visiter les centres villes et vous prélassez le temps d’une bonne boisson chaude telle que Crécy la chapelle, Beaumont sur Oise et son chateau, le parc de Van Gogh à Auvers sur Oise ou encore le chateauform de Mery sur Oise. Provins Temps de trajets 1H20 en voiture de Paris La région parisienne, une impression de tout petit espace et pourtant tellement de choses à voir, à faire, il y en a vraiment pour tous les goûts et la ville de Provins en est l’exemple parfait. Dans un esprit de temps arrêté, de retour en arrière par rapport à toute la technologie actuelle et la vie à 100 à l’heure, la ville médiévale de Provins regorge d’endroits à découvrir et de petits commerces traditionnels qui vous veulent du bien. Le centre de la ville est entièrement classé au patrimoine de l’UNESCO avec des bâtiments comme la tour César, ses remparts, ses nombreuses portes et maisons traditionnelles de l’époque, Provins est surtout connu pour sa fête médiévale qui a lieu tous les ans durant le mois de juin, mais aussi et essentiellement grâce à ses fantastiques démonstrations de rapace durant de magnifiques spectacles en plein air. Si vous voulez plus de précision sur les choses à faire à Rouen vous pouvez aussi lire mon article sur la ville de Provins. Quand s’y rendre ? Le moment idéal pour se rendre à Provins est durant la fête médiévale qui a lieu tous les ans durant le mois de Juin. C’est le moment idéal pour profiter pleinement de tout ce que la ville à a offrir comme activités découvertes et plaisir gourmands. Autour de la ville Autour de la ville de Provins et dans le même esprit médiéval, vous pouvez vous rendre à Brie Comte Robert, la jolie ville de Fontainebleau ou de Sens en continuant sur la route en direction de la Bourgogne. Etretat Temps de trajets 2H40 en voiture de Paris Sur la bordure de la côte normande en direction de l’Angleterre, les pieds dans la manche, se trouve quelque chose de magique, quelque chose hors du temps déjà présent lors des premières invasions de viking, les majestueuses falaises d’Etretat. Avec sa roche blanche et ses formes assez irrégulières, il est compliqué de les quitter des yeux tellement le lieu est incroyable. Au milieu de verdure, de chemins vallonnés où se balader, de sa belle plage de galet ou encore de son jardin aux statuts si particulières, le lieu vous fera perdre la notion du temps tout en vous transportant dans une bulle de romantisme. Quand s’y rendre ? Le plus agréable est de se rendre sur place en hors saison lorsque le soleil est au rendez vous, afin d’y éviter la foule et de pouvoir profiter tranquillement d’un moment de détente et d’un bonne crêpe en bord de mer. Autour de ces villes Plusieurs petites villes en bordure de mer sont à votre portées et à visiter lors de votre escapade comme par exemple Fécamp, Yport, Octeville sur mer, ou encore le Havre. Lille Temps de trajets 2H00 en voiture ou 1h00 en train de Paris Dans le nord de la France, là où la couleur du ciel est souvent grise et les murs des habitations souvent ternes, la ville de Lille est une bouffée de fraîcheur, un espèce de mini Paris au milieu de la région du Nord Pas de Calais et à la frontière de la Belgique. Avec son style un peu renaissance et sa grand’place colorée comme c’est le cas des capitales à l’est de l’Europe, Lille est une des villes les plus jolies de France. Nommée aussi, capitale de la Flandre française, Lille est une ville très riche en histoire, pour cette ancienne cité minière et de manufacture durant la révolution industrielle. Vous ne serez pas lassé durant une balade au cœur de Lille, tellement le nombre de choses à faire est conséquent, visiter ses petites ruelles dans le centre ville, visiter son beffroi, sa cathédrale, ses nombreux restaurants et pâtisseries comme les merveilleux de chez Fred et pour la part de culture, le très beau musée d’art et d’industrie ou encore ses parcs comme celui de la citadelle, bref Lille est une ville incroyable pleine de ressources, ne vous laissez pas influencer par les préjugés et venez la découvrir. Quand s’y rendre ? Il y a plusieurs moments clés pour vous balader à Lille, comme son marché de Noël, ses nombreux évènements autour de ces brasseries mais surtout sa très connue braderie de Lille, tous les premiers weekend de septembre. Autour de ces villes De nombreuses villes du nord chargées de l’histoire du siècle dernier et de l’ère industriel sont à découvrir autour de Lille, comme Roubaix, Tourcoing, Villeneuve-d’Ascq ou encore Arras. Le Touquet Temps de trajets 2H20 en voiture de Paris Quand s’y rendre ? Le Touquet est un des nombreux repères des parisiens en manque de verdures ou en manque de bon bol d’air marin. Garnie de maison secondaire, la ville s’est au fil du temps associé avec l’endroit de prédilection des habitants de la capitale, Paris plage, pour aller jusqu’à se nommer désormais, le Touquet Paris Plage. L’atmosphère de la ville y est très agréable, de même que la température même s’il s’agit du nord de la France et de même la gentillesse de ses habitants y est très sympathique. Au Touquet comme l’est en général les villes balnéaires ou les villes en bordure de mer, la ville possède un phare surplombant des dunes de sable à perte de vue donnant sur la baie de canche. Il y a aussi beaucoup d’autres choses à découvrir au Touquet comme son marché, sa rue principale la rue Saint Jean, son église Jeanne d’arc, son palais des congrès, mais il y a aussi énormément d’activités à pratiquer comme l’équitation, la planche à voile, le char à voile ou encore se prélasser dans un des nombreux Spa de la ville. Si vous voulez plus de précision sur les choses à faire à Rouen vous pouvez aussi lire mon article sur la ville du Touquet. Autour de ces villes Autour du Touquet on retrouve d’autres petites stations balnéaires comme Boulogne sur Mer, ou d’autres villes comme Berck, Le Crotoy, Saint Valery sur Somme, Fort Mahon ou encore Le Tréport. La baie de somme Temps de trajets 2H40 en voiture de Paris La baie de Somme est un endroit incroyable sur le littoral de la Picardie en bordure de manche. Sur 70 km2, elle est un repère ornithologique et pour d’autres écosystèmes uniques en France, mais pas que car en fonction de la saison il est possible de voir des phoques. Le Crotoy et Saint-Valéry-sur-Somme sont les endroits les mieux situés pour visiter la baie, de même que Berck en redescendant ou la baie d’Authie en remontant. Les balades sont la chose la plus agréable et apaisante à faire dans la baie de Somme, pédestre comme équestre de même que les petites balades dans les centres villes où profiter de la gastronomie locale dans les petits restaurants locaux, mais la chose la plus incroyable à faire est de survoler la baie en ULM. Quand s’y rendre ? Le meilleur moment pour se rendre dans la baie de Somme est de mai à Octobre. Autour de la baie Les villes à ajouter dans sa to do dans la baie de Somme sont le Crotoy, Saint-Valéry-sur-Somme, Berck, Rue, Abbeville, Mer les bains ou encore Cayeux sur Mer. Le perche Temps de trajets 2h00 en voiture de Paris Le Perche est un comté de la région de Normandie en plein de cœur des plaines vallonnées et bien vertes de la région. Le comté du Perche, c’est unification de plusieurs provinces de l’orne, de l’Eure, de l’Eure et Loire et du Loire et Cher. C’est là que sont élevées la plupart des vaches laitières ou autres animaux de la Normandie, de même que les nombreux vergers pour la fabrication du cidre, du jus de pomme ou du calvados. Tout au long de l’année, de nombreux évènements se produisent comme la foire au boudin et son élection de miss, la fête des vendanges, ses spectacles de son et lumière, foires aux allures d’antan comme les flories d’antan, la fête de la rainette et pleins de nombreux évènements qui rassemblent petits et grands. Le Perche ce n’est pas que des bocages, des vergers ou des petits villages pittoresques en bord d’eau, c’est aussi tout une histoire, des châteaux, des petites églises secrètes, des grandes rivières, des parcs naturels, des forêts au champignon. En quelques mots, le Perche c’est très agréable, à toute époque de l’année même à l’automne dans les vergers avec des bottes en caoutchouc pour la récolte des pommes. Quand s’y rendre ? Du fait de son étendu de verdure et son aspect vallonné, la température peut descendre très vite dans le Perche. Le plus agréable, suivant l’activité que l’on veut faire bien sûr est de se rendre dans le comté de Pâques à la Toussaint. Autour du comté Le Perche possède de très jolies villes dans un esprit un peu bucolique comme Corbon, Bellême, Mortagne au Perche, Nogent-le-Rotrou, Verneuil sur Avre ou encore la très jolie ville de Moutiers au Perche. Orléans Temps de trajets 1H30 en voiture de Paris A 130 kilomètres de Paris, sur les rives de la loire se trouve la capitale de la région Centre Val de Loire. Avec ses 115 000 habitants, la ville d’Orléans fait partie des moyennes/grandes villes de France où il fait bon vivre. Elle compte en effet dans la liste des villes qui se sont énormément modernisées ces dernières années avec un tram qui circule dans toute la ville, des petits commerces comme de grandes marques, des restaurants, brunch, halles alimentaires au milieu de tous ces endroits chargés d’histoire. Autrefois capitale du royaume de France sa conquête par Clovis, la ville est basée sur des fondations de plus de 1500 ans. Vous pourrez y admirer son magnifique hôtel de ville, sa cathédrale sainte croix, sa place Martroi, son université du 14 ème siècle, ses hôtels particuliers, ses nombreux musées mais surtout ses nombres importants de châteaux comme Chambord, Blois, Amboise, le château du clos Lucé ou autres châteaux du Loiret. Quand s’y rendre ? Le moment idéal pour se rendre à Orléans est le moment de la Fête Johannique, l’évènement qui rend hommage au symbole de la ville Jeanne d’arc. Cette fête, inscrite depuis 2018 à l’inventaire du patrimoine culturel immatériel en France se déroule tous les 3 ème weekend de Septembre. Autour de ces villes Dans la région du Loiret se trouve de petites pépites qui méritent d’être découverte comme le village d’Yèvre-le-Châtel, Montargis,Beaugency, Ferrières-en-Gâtinais ou encore Saint-Benoît-sur-Loire. Troyes Temps de trajets 1h40 en voiture de Paris Troyes est une ville médiévale de la région Champagne à moins de 2 heures de la ville de Paris. Son centre ville tout en colombage nous fait faire un retour en arrière le temps d’une journée ou d’un weekend. Entre marche, vignes, musées, monuments, châteaux de champagne ou magasins d’usine, Troyes est un ville très agréable à découvrir. Quand s’y rendre ? De mai à Septembre, cela est le moment idéal pour se rendre dans la région champagne et dans la ville de Troyes. Autour de la ville Les villes que vous pouvez visiter aux alentours de Troyes sont Chalon en Champagne, Auxerre, Reims, Langres, Sedan, Charleville-Mézières et Bar-le-Duc. Tours Temps de trajets 2h30 en voiture et 1H00 en train de Paris Dans la région de la Loire, il y a tellement de choses et de villes à découvrir et c’est bien le cas de la magnifique ville de Tours. Ville à taille humaine, elle ressemble quelque peu aux villes de Nantes ou d’Orléans et il est très facile d’y vivre car tout se trouve sur place. Ville universitaire, elle puise son dynamisme et sa force au niveau des activités qu’elle propose dans la jeunesse qui habite la ville et en attire toujours de plus en plus. Tellement de choses différentes sont possibles de faire dans la ville de Tours, que ce soit des visites en bord de Loire, des visites des châteaux de Chambord, d’Amboise, de Chenonceau, son centre ville, ses petites ruelles et ses maisons à colombages, sa cathédrale, son hôtel de ville, sa basilique, ses musées d’art, ses jardins botaniques, son zoo de Beauval, sa gastronomie et ses maisons de vin de Touraine, ses troglodytes. Quand s’y rendre ? Il est très agréable de se rendre dans la région de la Touraine et la ville de Tours durant le printemps lorsque la température est très agréable et la foule encore peu conséquente. Autour de la ville La Touraine est vraiment une région riche et puissante de par ces villes et villages et leur beauté, comme c’est le cas pour Azay le rideau, Chinon, Loches, Candes saint Martin, Crissay sur Manse, Montrésor ou encore Chédigny. Soissons Temps de trajets 1h20 en voiture de Paris En plein cœur de la région de l’Aisne à peine à une centaine de kilomètres au nord de Paris, se trouve la ville très atypique de Soissons et son histoire aussi importante soit elle dans l’histoire du pays puisqu’elle fut la première capitale de France. Qui n’a jamais entendu parler de Clovis et du vase de Soissons, aujourd’hui encore, l’histoire fascine. Ceci dit, il paraîtrait qu’elle soit aussi très reconnue pour ces haricots blancs de Soissons. A Soissons, vous retrouverez des donjons comme celui de Septmonts, des châteaux comme celui de Berzy le sec ou le fort de condé, des abbayes comme celle de Notre Dame de Soissons ou encore de saint Jean des Vignes et ses vestiges, sa cathédrale. Soissons c’est aussi des espaces verts et de longues balades au parc du Crépin ou sur les berges de l’Aisne ou encore exotiques dans l’arboretum du donjon de Septmonts. Quand s’y rendre ? D’avril à Novembre cela est le moment idéal pour se rendre dans la ville de Soissons. Autour de la ville On peut retrouver autour de Soissons des villes agréables à visiter lors d’un court séjour comme Compiègne, Noyon, Saint Quentin, l’abbaye de Vauclair, Thiérache, Pierrefonds, Parfondeval ou encore Coucy le château.
Caracteristiquesde la ville. Chef lieu de la wilaya, Tlemcen est une ville de montagne aux multiples rivières, située à proximité de la frontière marocaine. Surnommée la "Perle du Maghreb", Tlemcen est dotée d'un riche patrimoine historique et architectural, aux influences berbères, arabes, ottomanes, françaises et andalouses.
Le jeu simple et addictif CodyCross est le genre de jeu où tout le monde a tôt ou tard besoin d’aide supplémentaire, car lorsque vous passez des niveaux simples, de nouveaux deviennent de plus en plus difficiles. Plus tôt ou plus tard, vous aurez besoin d’aide pour réussir ce jeu stimulant et notre site Web est là pour vous fournir des CodyCross Ville surnommée la “Cité du Vase” réponses et d’autres informations utiles comme des astuces, des solutions et des astuces. Ce jeu est fait par le développeur Fanatee Inc, qui sauf CodyCross a aussi d’autres jeux merveilleux et déroutants. Si vos niveaux diffèrent de ceux ici ou vont dans un ordre aléatoire, utilisez la recherche par indices ci-dessous. CodyCross Cirque Groupe 88 Grille 2SOISSONS
Lasolution à ce puzzle est constituéè de 9 lettres et commence par la lettre D. CodyCross Solution pour VILLE SURNOMMÉE « LA CITÉ DE JEAN BART » de mots fléchés et mots croisés.
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REQUEST TO REMOVESoissons - Wikipédia Soissons est une commune française , située dans le département de l' Aisne et la région Picardie , surnommée la cité du Vase » [réf. souhaitée] . Les ... REQUEST TO REMOVESouvenez-vous du vase de Soissons ! - AgoraVox le média citoyen Après la bataille de Soissons en 487, la ville fut pillée et les trésors rassemblés afin de partager le butin. Parmi les trophées, figurait le fameux vase de ... REQUEST TO REMOVEQui a cassé le vase de Soissons ? Tome 1 Gaston Bonheur Livres en essayant gratuitement Amazon Premium pendant un mois. Votre inscription aura lieu lors du passage de la commande. En savoir plus. REQUEST TO REMOVELe vase de Soissons "L'Histoire des Francs " de Grégoire de ... Commentaire de texte en .doc en histoire médiévale Le vase de Soissons L'Histoire des Francs de Grégoire de Tours, Chapitre II, 27. Dissertation de 3 … REQUEST TO REMOVEPatrimoine de Soissons Un site utilisant Mini sites Ville de ... Architecture et patrimoine. 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Venez y retrouver nos infomerciales, nos enquêtes, nos partenaires, notre forum ainsi que notre Boutique ...PRESENTATIONDE VENISE Surnommée la « Cité des Doges » ou la « Sérénissime », Venise est est une ville se situant dans la plaine du pô se situant au Nord-Est de l’Italie et bordant le Golfe de Venise. Inscrit dans le patrimoine mondiale de l’UNESCO notament grâce à sa Lagune, Venise fut fondée vers 528 et est désigné comme capitale pendant près de huit siècle (1001-1797) de Soissons est une commune française, située dans le département de l'Aisne et la région Picardie, surnommée la cité du Vase ». Les habitants sont les Soissonnais. Site 2722AdministrationArrondissement SoissonsCanton Soissons-SudDémographieGentilé SoissonnaisPopulation 28646 habitantsGéographieSuperficie km2Altitude minimale 38 mètresAltitude maximale 130 mètressource DBpedia Eneffet, nous avons préparé les solutions de Word Lanes Ville surnommée La Cité des Masques. Ce jeu est développé par Fanatee Games, contient plein de niveaux. C’est la tant attendue version Française du jeu. On doit trouver des mots et les placer sur la grille des mots croisés, les mots sont à trouver à partir de leurs définitions. Nous avons trouvé les réponses à ce niveau
Eauprofonde est une Cité-État issue du monde imaginaire des Royaumes oubliés. Elle est située le long de la Côte des Épées sur le continent de Féerune. Eauprofonde, également connue sous le nom de la Cité des Splendeurs est une des plus grandes et plus importantes villes du continent et est dirigée par un groupe d'anonymes nommés Les Seigneurs d'Eauprofonde. La capitale de la région de Eauprofonde compte près de 130 000 habitants, tandis que la région en elle-même totalise une population d'environ 1 350 000 habitants. GénéralitésEauprofonde, ou la Cité des Splendeurs, est la plus importante et la plus influente ville du Nord et peut-être de tout Féerune. Pour cette raison, on considère qu'elle fait partie des Terres de l'Ouest, bien qu'elle soit située à 250 kilomètres au nord du village du Gué de la Dague. La route d'Eauprofonde est bien pavée et bien gardée. La ville est un centre de commerce entre les riches terres minières du nord, les royaumes marchands d'Amn et de Calimshan au sud, les royaumes de la Mer Intérieure à l'est et les royaumes maritimes et les marchands de l' tire son nom des grands fonds marins de son remarquable port naturel, et la ville qui s'est élevée à cet endroit est devenue un important carrefour commercial des Royaumes du nord. Plus d'un million de personnes ont choisi de s'installer à Eauprofonde. La ville s'étend vers le nord depuis la mer et longe les flancs du Mont Eauprofonde, une impressionnante montagne assez particulière. On raconte qu'autrefois, le Mont Eauprofonde abritait une citadelle naine, et un réseau de tunnels et de passages sillonne la montagne et ses profondeurs. La plupart d'entre eux sont encore occupés par de redoutables créatures dont la présence dans la montagne est bien antérieure à la fondation de la ville. L'une des raisons pour lesquelles Eauprofonde attire tant d'aventuriers est qu'elle possède un vaste espace d'exploration, Montprofond, commodément situé à proximité de temples et de lieux de sa taille, Eauprofonde est une ville paisible. Ceci est dû en partie aux efforts des Seigneurs Masqués, mais aussi à la milice d'Eauprofonde et également à la proximité de Port-Crâne, cité qui, elle, attire une populace beaucoup plus louche et sordide. Port-Crâne est située dans le Haut Outreterre et se trouve juste en dessous d'Eauprofonde. HistoireEauprofonde est mentionnée pour la première fois aux alentours de l’an 900 CV – non pas en tant que ville mais plutôt comme le lieu de rassemblement de seigneurs de guerre. En 1032, la ville avait déjà pris quelque importance lorsque Ahghairon devint le premier Seigneur d’Eauprofonde ; cette date est considérée depuis comme celle de départ du Calendrier du croissance de la ville fut si spectaculaire qu’en 1248, la Cité des Morts et les Guildes s’étaient déjà implantées en ville. Les Maîtres de Guilde prirent le pouvoir peu après, amorçant une période de troubles sans trêve particulièrement destructrice connue sous le nom de Guerre des Guildes ». La Guerre des Guildes prit fin seulement lorsque les deux derniers Maîtres de Guilde survivants imposèrent leurs propres lois. Ce n’est qu’en 1273 que le système de gouvernement actuel ou plus exactement, l’absence d’un gouvernement proprement dit fut instauré. Les Magistères furent créés cette année-là et les Seigneurs d’Eauprofonde reprirent définitivement leur rôle cette époque, la ville a continué à s’agrandir et à prospérer. Les humains et les autres races viennent de tous les Royaumes pour faire fortune dans la Cité des Splendeurs. Au fil du temps, les marchands ayant prospéré ont créé des guildes et se sont érigés en noblesse, soutenant les mystérieux Seigneurs d’Eauprofonde qui font régner l’ordre dans la cité sans pour autant la tyranniser, grâce aux gardes de la ville les soldats, au guet la police, et à une vingtaine de magistrats en robe noire. Eauprofonde, par conséquent, est devenue une ville très tolérante envers les différentes races, religions et modes de vie. Cette situation a fortement encouragé le commerce et Eauprofonde est à présent une immense cité cosmopolite. GouvernementEauprofonde est dirigée par un conseil dont les membres sont inconnus. Ces Seigneurs secrets d'Eauprofonde cachent leur identité derrières des masques magiques appelés heaumes. Lorsqu'ils apparaissent en public, personne n'est capable de les identifier. Savoir qui sont les Seigneurs est un sujet de conversation très commun dans la noblesse aquafondienne et certains considèrent comme un jeu de découvrir leurs identités - un jeu d'autant plus confus que les Seigneurs eux-mêmes se mêlent à la propagation des rumeurs. Tout le monde sait que Piergeiron le Paladinson, Gardien d'Eauprofonde et Commandant des Veilleurs, dont le palais doré domine le centre de la ville, est l'un des membres des Seigneurs. Il est le Seigneur démasqué parfois appelé Seigneur découvert et ne porte de masque ni sur son visage, ni sur son Khelben Arunsun surnommé "Bâton noir" fut lui aussi l'un des Seigneurs, et peut-être même le chef parmi eux, dépassant Piergeiron. L'identité des autres membres n'a jamais été rendu publique. Les noms de Mirt le marchand, de la courtisane Larissa et de Texter le paladin sont liés aux Seigneurs bien qu'il soit évident qu'il reste à prouver ou à réfuter qu'il s'agisse bien de Seigneurs n'apparaissent publiquement que dans la Cour des Seigneurs afin d'écouter les accusations de meurtre, de trahison, de mauvaise utilisation de la magie, ainsi que les appels des cours inférieures. En général, les Seigneurs sont au moins quatre à être présents, mais il arrive que l'on en voit six ou sept, voire jusqu'à neuf mais cela est rare. Piergeiron préside la cour et pose la totalité des questions. Les autres Seigneurs parlent via sa parole. Les Seigneurs sont masqués et vêtus de robe de manière similaire les uns des autres. Leurs robes sont informes et noires, dotées d'une cape noire, et leurs masques couvrent entièrement leur tête et leur visage. Ces masques possèdent des propriétés magiques préservant de la divination, et les robes donnent à tous les seigneurs la même apparence, également par magie. Le statut de Khelben en tant que Seigneur Masqué fut révélé plus tard, seulement après qu'il eut démissionné de son poste. Dans la série de romans Le chant et l'épée, Danilo Thann, neveu de Kelben venant d'une importante famille d'Eauprofonde ayant beaucoup d'influence, devint l'un des Seigneurs. Port-CrânePort-Crâne est un village situé à quelques kilomètres de la ville d'Eauprofonde. C'est un lieu dénué de loi où se croisent esclavagistes, pirates, ainsi que des demi-humains qui trafiquent avec des créatures peu recommandables comme les illithids, les drows, les spectateurs et d'autres créatures semblables venues du portail vers l'Outreterre situé non loin.
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